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EPILATION DEFINITIVE INDOLORE EPILSCAN HFD (GEL PHYO-ACTIF)


 
Nom du produit : EPILSCAN HFD®

Prix : 4'800 CHF

Fabricant : MEDIATRONIC S.A.

Désignation : Epilation progressivement
                        définitive indolore avec GEL Phyto Actif
                        (bioélectronique et électrolyse)

Epilation progressivement définitive par l'action combinée du courant d'électrolyse de haute fréquence et du GEL EPILSCAN® composé  de principes PHYTO ACTIFS pour détruire sélectivement la racine du poil (action chimique).


EPILSCAN HFD®

Méthode créé en 1991

Marque et brevets :
EPO573618 B1 – US 5522814.

L’épilation progressivement définitive consiste à détruire totalement et au bon moment la racine du poil sinon, il y a évidemment toujours la repousse du même poil !

Ensuite intervient le cycle pileux (capital poil dans une vie) !

L’aboutissement  d’une  épilation  progressivement définitive  sera  effective  seulement  lorsqu'il  y  aura  épuisement  du renouvellement de la pilosité, estimé environ  entre 12 et 36 mois.

Alors, vous êtes débarrassés définitivement d’une pilosité indésirable …

Le procédé EPILSCAN HFD® est une exclusivité MEDIATRONIC.

Les pilosités dites récalcitrantes seront combinées avec l’électrolyse (aiguille).


EPILATION AUTOMATIQUE GRANDE SURFACE avec sondes MORPHOLOGIQUES

Lèvres

Aisselles

Maillot

Jambes

 

EPILSCAN® 2 LASER

Multiples fonctions.

EPILATION BIO-ELECTRONIQUE – GEL EPILSCAN® avec sonde manuelle.

EPILATION ELECTRIQUE DIATHERMO ELECTROLYSE avec aiguille.

MICRO THERMOLYSE - Couperose - Comédons.

LASER MONOCHROME "ROUGE" - micro courant RF.

 

EPILSCAN® HFD type CR4

Version économique multiples fonctions.

EPILATION BIO-ELECTONIQUE – GEL EPILSCAN® avec sonde manuelle.

EPILATION ELECTRIQUE DIATHERMO ELECTROLYSE avec aiguille.

MICRO THERMOLYSE – couperose- comédons.

 

 

PRODUITS :

GEL EPILSCAN®, EPILGEL et GEL POST EPILSCAN®

 

 

Gamme des aiguilles techniques pour :
 

*  Electrolyse "épilation" (emballage 25 aiguilles)
   
type : 0.05 / 0.10 / 0.13 / 0.15 / 0.20

*  Micro thermolyse "couperose" (emballage de 10 aiguilles)

*  Micro thermolyse "comédons"
(emballage de 10 aiguilles)

*  Ridolyse
(emballage de 10 aiguilles)

 

Aiguilles d'épilation électrique

 

POURQUOI J’AI DES POILS SUPERFLU ?

Pourquoi mes poils superflus sont-ils plus tenaces que ceux des personnes que je connais ? C’est une question très pertinente, une question très courte qui devrait exiger une réponse tout aussi courte, mais malheureusement, il ne peut en être ainsi puisque deux personnes ne représentent pas des copies identiques. Tous les poils ne sont pas superflus. Les poils (tête, aisselle, aines) ont leurs raisons d’être, leur utilités (ornement ou protection). Ainsi, pour une raison d’ordre culturel, certaines nationalités aiment bien conserver ces régions pilifères. Cependant, en Amérique,  la femme, par souci d’esthétique ou d’hygiène, préfère se départir de ces poils qu’elle considère comme superflus. Et, de plus, cette invasion débute très tôt, dès l’adolescence, ce qui implique comme conséquence de ces progressions multiples, des poils plus gros, plus tenaces, plus colorés, disgracieux, plus difficiles à faire disparaître. En pratique, il faut considérer que les traitements effectués sur des poils vierges, n’ayant jamais été agressés, ont une efficacité beaucoup plus grande que ceux soumis à une pléiade d’essais. Revenons à la case départ : pourquoi mes poils résistent-ils tant ? Voyons ces facteurs influençant la pilosité.

1.    L’hérédité

Mes deux parents m’ont légué probablement une formule génétique de leurs parents selon laquelle, même si mon équilibre hormonal est normal, il arrive que le follicule pileux soit hypersensible à ce niveau normal d’hormones. Alors, le poil pousse même si le taux d’hormones est stable.

 
2.    Les agressions

« Heureuses » et malheureuses subies par les follicules pileux et les poils depuis plusieurs années. On sait que la peau est constituée de trois zones : l’épiderme, le derme et l’hypoderme. Sous chacune de ces zones : un réseau de distribution sanguin véhicule le sang, lequel alimente les racines des poils. Ainsi, plus vous augmentez le débit sanguin, plus le poils semble heureux : il se nourrit davantage et pousse plus vite.

A partir de ces données, quelles sont mes activités quotidiennes qui peuvent favoriser cet apport additionnel de sang ?

  • un excès de coups de soleil,
     

  • un excès de lampe solaire,
     

  • un excès de gant frictionnant (friction produit chaleur, chaleur produit vasodilatation sanguine et, résultat : plus de sang, plus de nourritures et plus de poils),
     

  • un excès de bain très chaud et de longue durée,
     

  • un excès de rayons « X », ou de rayons « ultraviolets »,
     

  • le rasage agressif,
     

  • la cire mal appliquée,
     

  • l’aiguille en électrolyse (multiples chocs et chaleur),
     

  • la pince à épiler

    • un membre dans le plâtre pendant une durée prolongée,
       

    • un vêtement trop serré causant une friction constante.


Enfin, tout ce qui est de nature à créer un excès de friction, d’où chaleur, d’où nourriture accrue vers la racine du poil.

3.    L’équilibre hormonal

Mon taux d’hormone est-il normal ? Je sais que les hormones sont sécrétées par les glandes endocrines, puis véhiculées par le sang dans tout l’organisme et par conséquence à chaque poil. Je sais qu’à la puberté, les ovaires et les testicules subissent des modifications et sécrètent des hormones mâles (des androgènes) et femelles (oestrogènes). J’en connais les résultats : pousse des poils avec variante selon le code génétique hérité des parents. Cette apparition de poils est normale. Je sais qu’à la grossesse, il survient souvent une poussée d’hormones androgènes, résultant assez souvent en poils qui disparaîtront facilement. Je sais qu’à la ménopause, l’ovaire diminue sa production d’hormones femelles : l’œstrogène, laissant libre action à l’hormone androgène le soin de se manifester. De plus, un manque d’œstrogène (femelle) dans le sang, stimule le lobe antérieur de l’hypophyse (le chef d’orchestre du système endocrinien) qui sécrète une hormone stimulant l’ovaire et la surrénale, d’où  production additionnelle d’hormones mâles: les androgènes, facteurs de pousse du poil.

Pour corriger cette situation, il faut compenser par des médicaments hormonaux. Je sais que la chirurgie de l’ovaire (l’ovariectomie crée des problèmes identiques que la ménopause). Je sais que certaines prescriptions médicamenteuses à base d’hormones androgéniques, pour divers troubles de la santé reliés à la menstruation sont bénéfiques pour la santé mais handicapantes pour le poil. Il est évident que deux glandes du système endocrinien, l’ovaire et la corticosurrénale, peuvent avoir des répercussions directes sur la pousse du poil. La corticosurrénale est essentielle à la vie. Elle fabrique une trentaine de corticostéroïdes essentiels à la vie, entre autre la cortisone. Elle fabrique aussi des androgènes (mâle)
par hypofonctionnement de la corticosurrenale.
Il se produit une stimulation de l’hypophyse et comme résultat, plus d’androgènes et plus de poils.


 4.    L’équilibre nerveux

Toutes les glandes endocrines ou hormonales dépendent de leur glande maîtresse : l’hypophyse, laquelle est une extension partielle du système nerveux en l’occurrence. L’hypothalamus est à la base du cerveau, ce dernier étant le siège important de la vie végétative. Le stress,  perdu à ce niveau, influencerait le fonctionnement du système hormonal en bien ou en mal. Je sais que le stress peut influencer la physiologie de la digestion, de la circulation, de l’excrétion. Ainsi, si je suis en état de stress négatif persistant et sans période de repos, la physiologie du système hormonal peut être déficiente et causer des problèmes en l’occurrence des hyperproductions d’hormones mâles, les androgènes, facteurs de croissance de poils superflus. (ex. : le stress à portée négative : non acceptation de soi, difficultés persistantes suite à un revers de fortune, perte d’emploi, divorce, enfant difficile, santé précaire etc. …).

De tout ce qui précède, comment exiger du spécialiste des méthodes d’épilation avec ou sans aiguille, de déterminer le nombre exact de séances requises pour faire disparaître les poils superflus ? On ne doit pas considérer le poil seulement, avec assurance, on peut avancer que le poil vierge (jamais touché), que le poil fin, que le poil blond disparaîtront assez rapidement. Le poil gros, dur, foncé, déjà agressé  maintes fois , sera plus récalcitrant. Il faut se souvenir que ce poil récalcitrant n’est qu’un symptôme probable d’un problème d’ordre hormonal existant. N’enlever que le symptôme, n’est pas suffisant car le problème demeure.

Votre spécialiste appliquant la méthode d’épilation fera son possible pour extirper les poils disgracieux. Cependant, si les résultats s’avéraient difficiles ou malheureux, il y aurait peut-être lieu de consulter votre médecin de famille.

Lequel pourrait vous orienter vers un spécialiste endocrinologue ou gynécologue. Il existe, d’après les endocrinologues, des médicaments sûrs, permettant d’arrêter la pousse du poil.
Par exemple : l’aldactone, les oestrogènes, la cimétidine, etc.. qui pourraient être prescrits pendant la poursuite de vos traitements. Il est évident qu’il s’agit de cas difficiles. Il demeure de toute évidence que la méthode d’épilation définitive
«
EPILSCAN® HFD», présente des avantages insoupçonnés pour le bien-être de votre peau. C’est une méthode qui utilise un principe actif biologique tout à fait naturel (huiles essentielles et extraits de plantes) et non pas un produit chimique (hydroxyde de sodium ou soude caustique) qui pourrait à la longue hyper sensibiliser les tissus et générer des allergies. Contrairement à l’épilation à l’aiguille, il n’existe pas de brûlures, cicatrices, douleurs. Enfin, de plus grandes surfaces peuvent être traitées en moins de temps.

Sur le plan monétaire, la méthode d’épilation « EPILSCAN® HFD » peut sembler plus onéreuse, mais, dans l’ensemble, elle revient à un coût moindre que la méthode conventionnelle.


LES POILS SUPERFLU

Le médecin établit une distinction entre l’hypertrichose et l’hirsutisme. Dans les cas d’hypertrichose, les poils ne sont pas stimulés par les hormones androgènes. Les poils sont fins et nombreux. La cause est héréditaire et la condition peut-être accentuée par d’autres facteurs. Dans les cas d’hirsutisme, les poils sont stimulés par une hypersécrétion d’hormones androgènes. Les poils sont gros, durs et rigides. Il est souvent héréditaire. Un comportement viril (barbe et moustache) peut être la manifestation d’une production exagérée d’androgènes provenant soit de l’ovaire, soit de la surrénale ou bien par la prise de médicaments (androgènes, dilantin, diazoxide). Il existe deux sortes d’hirsutisme :

1.    L’hirsutisme idiopathique

C’est une condition qui n’est pas généralement liée à une surproduction d’androgènes. Si la quantité d’hormones androgènes est normale, c’est plutôt les follicules pileux qui sont très sensibles à cette dose normale d’hormones mâles. Toutefois, en réalité, un pourcentage élevé de femmes hirsutes ont une sécrétion d’androgènes plus élevée. Dans la majorité des cas, l’ovaire est responsable.

2.    L’hirsutisme hyper androgénique

C’est une condition causée par une production exagérée d’hormones mâles ou androgènes. Elle est liée à des troubles menstruels, à l’acné,  les ovaires sécrétant une quantité anormale d’androgène. Cette anomalie de l’ovaire peut être due à un trouble au niveau de l’hypothalamus ou au niveau de la surrénale ou de l’administration orale d’androgènes. Dans ces cas, l’investigation nécessite en général le concours de l’endocrinologue ou du gynécologue ou des deux.


Investigation :

Le diagnostic consiste à déterminer l’ampleur, la nature et l’origine de la production exagérée des androgènes, soit l’ovaire (dans 70 % des cas), soit de la surrénale (dans 10 % des cas), soit de l’ovaire et de la surrénale.


Traitement de l’hirsutisme :

Les mesures esthétiques conventionnelles (cire, électrocoagulation) demeurent indiquées à partir du moment où la pilosité crée un réel problème esthétique. Elles permettent d’atténuer ce problème. Cependant, si la surproduction des hormones androgènes n’est pas contrôlée, le problème revient. Les oestrogènes, l’aldactone, la cimétidine, l’acétate de cyprotérone sont des médicaments qui sont peut-être l’aldactone qui a été, ces dernières années les plus couramment utilisés. Il n’y a aucun doute que l’aldactone soit capable de diminuer la sécrétion et l’effet des androgènes sur le poil, les effets secondaires sont heureusement assez bénins : gastralgie et céphalée.

Les contraceptifs oraux ne sont pas contre-indiqués. Au contraire, en favorisant la liaison de l’hormone mâle et de la testostérone par des protéines, et, en augmentant le rapport œstrogène sur testostérone, ils jouent un rôle bénéfique à long terme.

Note : ces renseignements n’ont pas pour but d’établir un diagnostic personnel. Le diagnostic est réservé exclusivement au médecin. Ces renseignements ont été intégralement puisés à partir de livres universitaires.

Physiologie de la Croissance du Poil

 

ZONE

 

Quantité
de poils
cm2

% Phase

Anagène


Durée phase

Anagène naissant

Durée

Cycle pilaire

Profondeur

Racine

Lèvre supérieure 400 60 21 jours    5 mois    1.5 - 3 mm
Menton 500 20 21 jours 15 mois       3 - 5 mm
Avant  bras 100 40 21 jours    9 mois       3 - 5 mm
Aisselle / maillot 70 30 21 jours 18 mois      3 -10 mm
Jambes 50 25 21 jours 16 mois       3 - 6 mm
Dos 70 30 21 jours 15 mois       2 - 6 mm

 

                        
 

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